• Les 12 plus gros mensonges officiels sur l’alimentation

    C’est malheureux, mais les recommandations des nutritionnistes « officiels » sont souvent à mille lieues des enseignements de la science et du bon sens. Pourquoi ? Parce que l’alimentation est au cœur d’intérêts politiques, industriels et financiers puissants ! Voyez plutôt les 12 énormes mensonges qu’on entend quotidiennement dans les grands médias… et qui nuisent gravement à votre santé.

    Mensonge n°1 : Buvez un bon jus d’orange le matin !

    La plupart des gens s’imaginent que les jus de fruit sont bons pour la santé. Et le très officielProgramme National Nutrition Santé (PNNS) les conforte dans cette erreur. Pour ces « experts », un verre de jus « compte » comme une portion de fruit. Ce n’est pas seulement faux : c’est dangereux. Car un verre de jus d’orange contient autant de sucre qu’un Coca Cola, avec les mêmes effets désastreux sur votre santé.

    Pour les chercheurs de l’Université de Harvard, les boissons sucrées (sodas ET jus de fruits) sont responsables de 133 000 décès par diabète, 44 000 décès par maladie cardio-vasculaire et 6 000 décès par cancer. [1] Car le sucre est l’ennemi numéro 1 de votre santé. Les Français consomment 17 fois plus de sucre aujourd’hui qu’au 19ème siècle. Et comme par hasard, cette nouveauté a coïncidé un peu partout avec une augmentation vertigineuse de l’obésité, du diabète et de la quasi-totalité des maladies modernes.

    Le pire est le fructose ajouté, que l’on trouve dans les pâtisseries mais aussi la plupart des produits industriels, sous forme de « sirop de maïs » ou « sirop de fructose-glucose ». Quant au sucre de table, composé à 50 % de fructose et à 50 % de glucose, il faut savoir qu’il est la nourriture privilégiée des… cellules cancéreuses ! Plus vous consommez de sucre, plus vous risquez de déclencher un cancer… et de l’alimenter.

    Voilà pourquoi il est si important de réduire au maximum sa consommation de sucre, y compris celui des jus de fruit, même s’ils ont été soigneusement pressés par vos soins. N’hésitez pas à manger des fruits entiers… mais ne croyez surtout pas que boire du jus de fruit revient au même. D’abord parce que le jus empêche de vous rendre compte de la quantité de sucre que vous avalez. Saviez-vous qu’un seul verre de jus contenait le sucre de deux oranges ? Et que pour produire 1 seul litre de jus, il faut 2 à 3 kilos d’orange ?

    Et surtout, les fibres du fruit ont l’avantage de « ralentir » le passage du sucre dans le sang. Lorsque le fruit est réduit en jus, sans les fibres, il augmente brutalement votre taux de sucre sanguin et force votre pancréas à injecter une dose massive d’insuline pour rétablir la situation.

    Résultat : au bout de deux heures, c’est l’hypoglycémie. C’est la fameuse fringale de 10-11h, après un petit-déjeuner sucré. Au bout de quelques mois, c’est la prise de poids… Et au bout de quelques années, c’est l’ensemble de vos cellules que vous endommagez. Voilà l’effet que les sucres « rapides » produisent sur votre organisme… Et le pain n’y fait pas exception :

    Mensonge n°2 : Le pain complet est la base d’une alimentation santé

    Ah, le pain complet, les céréales complètes, voilà qui sonne « sain », n’est-ce pas ? Malheureusement, les choses ne sont pas si simples. Les nutritionnistes recommandent le pain complet car il contient une dose correcte de fibres et des vitamines (contrairement au pain blanc, très pauvre nutritionnellement).

    Mais c’est loin d’être un aliment irréprochable. Le pain complet contient beaucoup de gluten, de sel et de pesticides (lorsqu’il n’est pas bio). Et contrairement à ce qu’on croit trop souvent, c’est un « sucre rapide ». On le sait grâce à la mesure de son « index glycémique », qui reflète la rapidité avec laquelle les aliments augmentent votre taux de sucre sanguin. Eh bien l’indice glycémique du pain (blanc ou complet) est très élevé (71), et même légèrement supérieur à celui du sucre de table (67) ! [2]

    Lorsque vous mangez du pain, votre taux de sucre dans votre sang augmente brutalement, et comme on l’a vu avec le jus d’orange, cela finit par dérégler votre appétit, favoriser le surpoids et accélérer le vieillissement de vos cellules. Choisir des aliments à indice glycémique bas est donc un des gestes les plus importants que vous pouvez faire pour votre santé… et votre tour de taille.

    Donc préférez le pain complet avec des farines ancestrales, qui a l’avantage d’avoir un indice glycémique un peu plus bas. 

    Mensonge n°3 : Il faut manger « un peu de tout »

    Vieille rengaine ? « Manger équilibré » ce serait tout simplement « manger un peu de tout ». Si l’on suit cette logique, cela voudrait dire qu’il faudrait manger « un peu de frites », « un peu de charcuterie », « un peu de viennoiseries industrielles », « un peu de pain blanc », « un peu d’huile de tournesol », « un peu de glace », boire « un peu de coca-cola ». Vous voyez le problème…

    Varier les plaisirs parmi des aliments bons pour la santé (fruits, légumes, viandes, poissons, œufs, noix). Mais dans la jungle alimentaire que nous connaissons aujourd’hui, s’il y a une règle à suivre, c’est de manger le plus possible de bonnes choses, et le moins possible de mauvaises.

    Manger « de tout » est d’autant plus inadapté qu’il existe des catégories d’aliments qui ne conviennent absolument pas à certaines personnes. Par exemple, les féculents sont bons pour les sportifs… mais désastreux pour les diabétiques. Le lait et le blé peuvent être consommés avec modération par ceux qui les tolèrent, mais doivent être évités à tout prix par ceux qui les digèrent mal. Ces derniers ne mangeront donc pas de « tout »… mais cela n’a aucune importance ! Car le lait ou les céréales ne contiennent aucun nutriment qu’on ne peut retrouver dans d’autres aliments (certaines variétés de choux contiennent plus de calcium que le lait).

    Même les fruits peuvent être évités sans dommage pour la santé – du moment que vous consommez un maximum de légumes variés. Quant au régime végétarien, sans viande ni poisson, il est plus compliqué à équilibrer, mais pas impossible si vous avez une excellente connaissance de la nutrition !

    Mensonge n° 4 : Surtout pas plus de trois œufs par semaine !

    « Les œufs sont pleins de cholestérol ! Limitez-les au maximum, pour le bien de votre cœur et de vos artères ! » Et voilà comment un slogan sorti des années 1970 a privé inutilement des millions de personnes d’un des aliments les plus sains de la planète. Car cela fait maintenant des années qu’on le sait : le cholestérol contenu dans les aliments n’a aucune influence négative sur votre cholestérol.

    La raison est simple : c’est le foie qui produit l’essentiel du cholestérol de votre organisme. Lorsque vous avalez du cholestérol contenu dans les aliments, le foie réduit d’autant sa propre « production ». C’est pourquoi vous pouvez avaler 3 œufs par jour sans que votre cholestérol (LDL) ne bouge d’un iota. Aucun risque, donc, pour votre cœur. Des études portant sur des centaines de milliers de personnes ont montré de façon répétée que ceux qui consomment beaucoup d’œufs n’ont pas plus de risque que les autres de développer une maladie cardiaque. [3]

    Face à cette avalanche de preuves, les autorités américaines ont fini par changer leur fusil d’épaule. Les nouvelles recommandations officielles, publiées en 2016, contiennent enfin, noir sur blanc, l’aveu qu’il est totalement inutile de réduire sa consommation d’aliments riches en cholestérol. Et cela tombe bien, car ce sont souvent des aliments extrêmement sains, comme les fruits de mer, le foie de veau (et autres abats) ou les sardines. Quant à l’oeuf, c’est un véritable « super-aliment » qui mériterait être consommé tous les jours.

    Le blanc d’œuf est composé à 100 % d’excellentes protéines, idéales pour le petit-déjeuner. Et le jaune est rempli de vitamines (A, B2, B5, B6, B9, B12, D, E et K), d’anti-oxydants ainsi que de « choline », un nutriment rare qui protège votre mémoire. D’ailleurs, saviez-vous à quoi la doyenne de l’humanité actuelle, l’italienne Emma Morano (116 ans !), attribue son incroyable longévité ? Aux trois œufs qu’elle mange tous les jours, depuis l’âge de vingt ans !

    Mensonge n°5 : Remplacez le beurre par l’huile de tournesol

    Priver les citoyens d’un « super-aliment » est dommage. Mais il est beaucoup, beaucoup plus grave de leur conseiller d’avaler un aliment toxique. C’est ce qui s’est produit dans les années 1970 (encore !), lorsque l’on a commencé à dire aux gens de remplacer les graisses animales, comme le beurre, par des huiles végétales, comme l’huile de tournesol ou de maïs. Or on sait aujourd’hui que ces deux huiles font partie des aliments les plus nocifs qui existent.

    Le problème est qu’elles sont bourrées d’omégas-6, dangereux lorsqu’ils sont consommés en excès : ils augmentent votre risque de surpoids, de diabète… et de crise cardiaque ! [4] Etait-il au moins justifié de recommander de réduire les graisses animales, pour éviter de boucher les artères ?

    Même pas. On s’est aperçu que le régime traditionnel des Eskimos (inuits) était composé presque exclusivement de viandes et poissons extrêmement gras comme le phoque, la baleine, le morse ou le renne… Et cela ne les empêchait pas d’avoir un des taux de maladie cardiaque les plus bas au monde ! En réalité, il n’existe aucun lien entre la consommation de graisses animales dites « saturées » et le risque de maladie cardiaque. C’est ce qu’a conclu le rapport de référence de 2010 sur le sujet, qui incluait 21 études et 347 000 personnes suivies.

    Pour enfoncer le clou, deux chercheurs ont publié en avril 2016 les résultats d’une étude datant des années 1970, qui sont d’autant plus explosifs qu’ils ont été camouflés pendant près de 30 ans. [5] A l’époque, les chercheurs avaient sélectionné 9 000 personnes qui vivaient en établissement médicalisé, et dont ils pouvaient contrôler le régime alimentaire à 100 %.

    Pendant des années, la moitié d’entre eux a suivi un régime alimentaire « classique », relativement riche en graisses saturées (beurre, fromage et viande). L’autre moitié s’est vu priver d’une bonne partie de ces graisses et, pour compenser, a consommé une dose importante d’huile de maïs. Eh bien au bout de cinq ans, les pauvres cobayes du deuxième groupe ont eu deux fois plus de crise cardiaque que ceux du premier (41 % contre 21 %) !

    Voilà ce qui arrive quand on demande aux gens de consommer massivement des produits industriels (huile de maïs ou de tournesol) qui n’ont jamais fait partie du régime traditionnel d’aucun peuple sur la planète ! (les huiles d’olive et de colza, elles, sont consommées depuis des millénaires et sont précieuses pour la santé).

    Mensonge n°6 : les compléments alimentaires sont inutiles 

    Quand on écoute certains médecins, on a souvent l’impression que les compléments de vitamines, minéraux et autres micro-nutriments sont au mieux de la poudre de perlimpinpin, et au pire des poisons en puissance.

    Il est vrai qu’il existe de véritables arnaques, particulièrement dans le domaine de la « minceur » : non, évidemment, vous ne perdrez jamais 5 kilos par mois en avalant des pilules ! Mais n’oublions pas que de nombreux médicaments ne valent pas mieux. D’après les Professeurs Even et Debré, plus de la moitié des médicaments vendus en pharmacie sont inutiles… avec des effets secondaires parfois effrayants.

    Les compléments alimentaires, eux, sont inoffensifs dans l’immense majorité des cas. Et si vous les choisissez bien, ils peuvent faire une grande différence pour votre santé. Car contrairement à une idée reçue, il ne suffit pas de « manger équilibré » pour ingérer toutes les vitamines et minéraux dont votre corps a besoin. L’exemple le plus évident est la vitamine D. C’est une vitamine qui a la particularité d’être quasiment absente des aliments… et d’être synthétisée par notre organisme uniquement lorsque notre peau est exposée au soleil !

    Et comme nous passons l’essentiel de notre temps entre quatre murs, il est très fréquent d’être en carence aujourd’hui. Selon une étude publiée en 2012, pas moins de 80 % des Français sont en déficit de vitamine D ! [6] C’est un chiffre dramatique quand on sait qu’une carence en vitamine D est associée à un risque plus élevé de mourir d’accident cardiaque, de cancer ou d’infection. [7]

    Voilà donc un premier complément alimentaire que presque tous les Français devraient prendre, tous les jours, la vitamine D ! Mais ce n’est pas le seul. Un effet pervers du développement de l’agriculture intensive est que les fruits et légumes sont désormais beaucoup moins nutritifs qu’avant. Des chercheurs ont calculé qu’une pomme d’aujourd’hui contient 100 fois moins de vitamine C qu’il y a 50 ans ! Et si vous voulez obtenir la même dose de vitamine A contenue dans une orange de la même époque, vous devez désormais en consommer 21 ! [8]

    Voilà pourquoi des nutritionnistes éminents, comme le professeur Willet de l’Université de Harvard, recommandent à tous, en plus d’une alimentation équilibrée, de prendre chaque jour un complément multivitamine de qualité.

    Mensonge n°7 : Le « sans-gluten » est une mode stupide

    On présente souvent le « sans-gluten » comme un « effet de mode », un « nouveau snobisme », voire même « un régime risqué ». Mon propre médecin m’a regardé avec pitié, il y a des années, lorsque je lui ai parlé d’arrêter le gluten. Pour la médecine officielle, si vous ne faites pas partie des 1 % de la population intolérante au gluten (maladie cœliaque), vous n’avez aucune bonne raison de vous en priver. Mais si vous écoutez les patients, vous entendez un tout autre son de cloche.

    Ils sont de plus en plus nombreux à arrêter le gluten, et à témoigner du bien que cela leur a fait : fini les problèmes digestifs qu’ils traînaient depuis des années, fini les douleurs inexpliquées ou les fatigues anormales. Et pourtant, Dieu sait qu’il est pénible de devoir manger sans gluten 365 jours par an. C’est une protéine contenue dans les céréales comme le blé ou l’orge, et que l’on trouve donc dans la plupart des pains, des pâtes, des sauces et des gâteaux.

    Manger « sans gluten » est donc un parcours du combattant dès que l’on sort de chez soi et que l’on mange à la cantine, au restaurant ou chez des amis. Ceux qui suivent ce régime ne le font pas par gaieté de cœur, et encore moins par effet de mode… mais bien parce qu’ils en constatent les effets sur leur santé ! Et la science leur donne raison. Car le blé d’aujourd’hui n’est pas le même qu’au début du 20ème siècle. Par croisements génétiques, le blé moderne contient 42 chromosomes, là où le blé ancestral n’en avait que 14.

    Et l’un des effets de ce blé « mutant »… est qu’il contient beaucoup plus de gluten qu’avant ! Or la gliadine du gluten produit un effet désastreux sur votre intestin : il le rend plus perméable, plus poreux. [9] C’est dangereux, car votre intestin risque alors de laisser passer dans le sang des fragments d’aliments, ce qui peut déclencher des réactions inflammatoires, des douleurs… et même des maladies auto-immunes. Voilà pourquoi tout le monde gagnerait à réduire sa consommation de gluten, y compris ceux qui le supportent très bien.

    Le seul « risque » que vous prenez, c’est de vous priver d’aliments peu recommandables (ou réduire) comme le pain, les pâtes et la plupart des produits industriels… et de devoir compenser ce « manque » en mangeant plus de fruits, de légumes et de bonnes graisses !

    Mensonge n°8 : Les produits laitiers sont nos amis pour la vie

    Tout le monde l’a entendu au moins une fois : il faudrait manger « au moins 3 produits laitiers par jour ». C’est le conseil donné aux Français sans relâche depuis des dizaines d’années. Mais sur quoi repose-t-il vraiment… sinon sur l’influence du lobby laitier ?

    On peut se poser la question quand on sait que les trois quarts de l’humanité ne possèdent pas l’enzyme permettant de digérer le lactose… et ne boivent donc pas la moindre goutte de lait à l’âge adulte. Sont-ils pour autant en mauvaise santé ? Pas du tout. Les Japonais vivent même plus longtemps que les Européens, sans le moindre produit laitier.

    Mais ne manquent-ils pas de calcium ? Leurs os ne sont-ils pas fragiles ? Au contraire : ils subissent nettement moins de fractures que les scandinaves, qui sont pourtant les plus grands consommateurs de produits laitiers au monde ! En fait, la dose quotidienne de calcium indispensable à la santé de vos os est assez basse et très facile à atteindre sans la moindre goutte de lait.

    Inutile, donc, de vous gaver de lait en croyant faire du bien à vos os. Et ce d’autant moins que les produits laitiers ont une face très sombre :

    – Le lait non bio contient de forts taux de pesticides ;

    – Le lait de vache est riche en hormones bovines (œstrogène, progestérone et insuline) utiles à la santé du veau, mais inadaptées à notre organisme ;

    – Et de nombreuses études ont établi que les gros consommateurs de lait ont plus de risque que les autres de contracter un cancer. [10]

    Et je ne vous parle pas des dégâts digestifs que peut causer le lait chez ceux qui le digèrent mal. Or les intolérants au lactose sont beaucoup plus nombreux qu’on ne l’imagine : en France, ils représentent environ 41% de la population !

    Bref, ne vous forcez surtout pas à manger le moindre produit laitier. Et si vous les appréciez, essayez de ne pas dépasser une portion par jour, de privilégier le lait de brebis ou de chèvre… et de les choisir bio !

    Mensonge n°9 : Manger gras est mauvais pour la santé

    Le gras, c’est la vie ! L’être humain peut se passer de sucre (car il peut produire du glucose à partir de ses réserves de graisses et des protéines)… mais il ne peut pas se priver de bonnes graisses. Nous sommes, par exemple, incapables de fabriquer nous-mêmes les fameux oméga-3, si précieux pour le bon fonctionnement de notre cœur et de notre cerveau. Voilà pourquoi notre alimentation doit impérativement comporter des graisses comme l’huile de colza ou les sardines, riches en oméga-3.

    De plus, se priver de gras, c’est aussi se priver d’aliments délicieux et excellents pour la santé comme :

    – l’avocat – rempli de fibres et de potassium,

    – les noix, amandes et noisettes – pleines de vitamines.

    – le chocolat noir – bourré d’anti-oxydants,

    – et les œufs – remplis de choline.

    Et pour couronner le tout, éliminer le gras, c’est faire de sa vie un véritable enfer. Car non seulement le gras est ce qui donne du goût à vos recettes, vos sauces et vos assaisonnements… mais c’est aussi ce qui vous tient le plus « au corps ». Si vous vous en privez, vous risquez d’être tenaillé par la faim en permanence.

    Et ce ne sont pas les glucides qui vont vous aider à vous « caler », car elles n’offrent pas la même sensation de satiété que les graisses. C’est même le contraire qui est vrai : plus vous mangez des sucres rapides, plus vous avez envie de vous jeter sur les aliments les moins recommandables, comme les glaces ou les tartines de Nutella.

    Voilà pourquoi l’injonction de « manger sans gras » est l’un des pires conseils que l’on puisse vous donner pour votre santé. Et ce, d’autant plus que manger moins gras oblige à prendre beaucoup de féculents !

    Mensonge n°10 : Avalez des féculents à chaque repas

    Si l’on en croit le Programme National Nutrition Santé (PNNS), vous devriez avaler chaque jour un maximum de féculents : pâtes, pommes de terre, pain, céréales, légumineuses. Ce seraient des sucres « complexes », nous dit-on, et donc des « sucres lents ».

    C’est vraiment se moquer du monde, car cela fait au moins 20 ans que l’on sait que la plupart d’entre-eux sont en réalité des sucres rapides, avec un indice glycémique élevé. On l’a vu pour le pain, mais c’est également le cas des pommes de terre et, dans une moindre mesure, du riz blanc et des pâtes. Comme tous les sucres rapides, ils sont donc à éviter. Préférez les féculents qui ont un indice glycémique bas ou modéré, comme le riz thaï semi-complet, le sarrasin, la patate douce ou les légumineuses.

    Mais sommes-nous obligés d’en consommer à chaque repas, comme le PNNS nous le demande ? Pas du tout : en fait, cela dépend totalement de votre métabolisme personnel et de votre niveau d’activité physique. Si vous êtes très sportif, ou que vous faites un travail manuel intense, alors vous avez effectivement besoin d’une dose importante de glucides. Les féculents vous fournissent l’énergie dont votre corps a besoin pour l’effort. Mais si vous êtes assis toute la journée derrière un bureau, manger des féculents risque de vous faire plus de mal que de bien… à commencer par vous faire grossir !

    Toutes les études récentes le montrent [10]: un régime pauvre en glucides a de bien meilleurs effets que le régime « féculent » recommandé par le PNNS :

    – Sur la perte de poids et en particulier sur la graisse abdominale ; [11]

    – Sur le niveau de la pression artérielle ; [12]

    – Sur le niveau du taux de sucre sanguin ; [13]

    – Et sur le niveau des triglycérides ; [14]

    Voilà de bonnes raisons de réduire les féculents ! C’est même la première chose à faire si vous cherchez à maigrir :

    Mensonge n°11 : pour maigrir, réduisez les calories

    Pour la plupart des nutritionnistes officiels, il suffirait de réduire les calories pour maigrir. Et comme les graisses (lipides) contiennent plus de calories que les glucides, ils vous conseillent en priorité d’éliminer les aliments « gras » ! Ce serait logique si toutes les calories se valaient. Mais comme nous l’avons vu, ce n’est absolument pas le cas… et c’est donc un conseil désastreux.

    Avant de réduire le nombre de calories avalées, il faut d’abord se préoccuper de consommer des calories qui procurent un sentiment de satiété et de sérénité. Et savez-vous pourquoi la plupart des régimes amaigrissants se soldent par un échec retentissant ? Pour des raisons hormonales : lorsque vous vous privez de nourriture, vous faites subir à votre corps un véritable stress . Et lorsqu’il est stressé, votre corps produit davantage de cortisol… une hormone qui augmente mécaniquement votre sensation de faim et votre appétit. [15] [16] Ainsi, pour « récupérer » du stress que vous lui faites subir par votre régime, votre organisme vous réclame des aliments caloriques, gras et sucrés de préférence. Vous êtes donc soumis au supplice de la tentation… au moment même où vous cherchez à éviter les calories !

    Voilà pourquoi votre priorité, si vous cherchez à maigrir, ne doit pas être de manger moins, mais :

    – De manger mieux : plus de protéines, de végétaux et de bonnes graisses, moins de produits industriels et moins d’aliments à indice glycémique élevé ;

    – De lutter contre le stress de votre vie quotidienne, notamment par des exercices de respiration et de relaxation ;

    – Et de veiller à dormir suffisamment, car la privation de sommeil est un stress chronique qui, lui aussi, augmente considérablement votre appétit !

    Si vous faites tout cela, il y a de bonnes chances que vous observiez votre poids revenir à la normale, sans rien faire d’autre.

    Mensonge n°12 : Buvez l’eau du robinet sans inquiétude

    L’eau est « l’aliment » le plus important pour votre santé, de très loin. Vous avez intérêt à en boire suffisamment… et à vous assurer qu’elle est de bonne qualité !

    Avec l’eau du robinet, il est, malheureusement, très difficile d’être serein. Nos gouvernements ont beau nous assurer qu’elle ne pose aucun problème, la réalité est qu’elle contient un cocktail de produits chimiques tout sauf rassurant.

    Il y a d’abord des doses de nitrates et de pesticides. Régulièrement, les niveaux d’alerte sont dépassés dans certaines communes. C’est bien connu… Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Car il y a des substances au moins aussi dangereuses que les autorités ne mesurent pas : ce sont les « résidus médicamenteux ».

    D’après les plus grands experts toxicologues, comme le Professeur Jean-François Narbonne, on trouve désormais dans l’eau du robinet des doses significatives de pilules contraceptives et d’antibiotiques… des substances qui font des dégâts sur nos hormones et notre flore intestinale.

    Malheureusement, les stations d’épuration en France ne sont pas prévues pour purifier l’eau de ces produits chimiques modernes. Elles se bornent à la « désinfecter ». Et pour cela, elles utilisent du chlore, ce qui pose un autre problème sérieux, car c’est aussi une substance toxique, soupçonnée d’être cancérigène.

    Et ce n’est pas fini : car pour arriver jusqu’à votre robinet, l’eau doit bien passer par des tuyaux. Or le revêtement de ces tuyaux peut contenir des phtalates (un perturbateur endocrinien) ou même du plomb (un dangereux neurotoxique).

    Il y a beau avoir des « normes sanitaires », la vérité est que personne n’a la moindre idée de l’impact qu’un tel cocktail chimique peut avoir sur notre santé. Dans le doute, mieux vaut purifier l’eau avec un distillateur ou installer un système de filtration de qualité dans son foyer.

    J’ai essayé de rassembler pour vous les mensonges les plus criants, mais ce ne sont pas les seuls, hélas ! Et si vous pensez que cette lettre peut être utile à d’autres, n’hésitez pas à la partager autour de vous ! Vous pouvez la partager grâce aux petites icônes au-dessus de l’article. Car ne trouvez-vous pas qu’il est important d’agir contre une telle désinformation ? Le temps n’est-il pas venu de contrer la propagande d’industriels qui cherchent à nous vendre leur marchandise à tout prix, sans se soucier de notre santé ? N’est-il pas urgent de former une immense chaîne de solidarité et de VÉRITÉ sur l’alimentation santé ?

    Source : Xavier Bazin , sante-corps-esprit.com

    Références:

    [1] Estimated Global, Regional, and National Disease Burdens Related to Sugar-Sweetened Beverage Consumption in 2010, Micha R, Singh GM et al.

    [2] Glycemic index and glycemic load for 100+ foods, Harvard Health Publication

    [3] Rethinking dietary cholesterol, Fernandez ML

    [4] Use of dietary linoleic acid for secondary prevention of coronary heart disease and death : evaluation of recovered data from the Sydney Diet Heart Study and updated meta-analysis, Christopher E Ramsden, clinical investigator et al. And n-6 fatty acid-specific and mixed polyunsaturate dietary interventions have different effects on CHD risk : a meta-analysis of randomised controlled trials, Ramsden CE et al.

    [5] High cholesterol diet is not linked to increased heart risk, study shows, Susan Mayor

    [6] Vernay M. et al. Vitamin D status in the French adult population : the French Nutrition and Health Survey (ENNS, 2006-2007). Usen, invs, Avril 2012.

    [7] Voir les études citées dans cet article de vulgarisation paru dans Authority Nutrition : 9 reasons to optimize your vitamin D levels

    [8] Nutrient changes in vegetables and fruits, 1951 to 1999, compiled by Jeffrey Chritian for CTV News

    [9] Effect of gliadin on permeability of intestinal biopsy explants from celiac disease patients and patients with non-celiac gluten sensitivity, Hollon J. et al.

     

    [10] Dairy intake and prostate cancer risk : results from California collaborative prostate cancer study, Raj Satkunasivam et al. The Journal of Urology

     

    Bruno LAHARRAGUE

    Ostéopathe D.O

    Seignosse Le Penon

    http://www.bruno-laharrague.com/

    http://brunolaharrague.blogg.org/
     


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  • Le CURCUMA

    En Inde, le curcuma a été utilisé et couronné la « Reine de toutes les épices » depuis plus de 2500 ans. Bien qu’il ait été d’abord utilisé comme colorant, au cours des siècles ses véritables pouvoirs de guérison sont apparus lentement au grand jour.

    Longtemps connu pour ses propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et de détoxification, des études récentes révèlent comment cette merveille naturelle peut traiter des maladies telles que la maladie d’Alzheimer et aussi le cancer.

    Voici 7 façons éprouvées sur la façon dont le curcuma peut améliorer votre santé et votre bonheur. Je suis sûr qu’après avoir lu cet article, vous allez commencer à ajouter cet épice miraculeuse à votre alimentation chaque jour.

    1. Combat l’inflammation naturellement

    L’inflammation chronique est considéré comme le coupable de beaucoup de nos maladies modernes. La curcumine, ou le composé actif du curcuma, se trouve être un composé anti-inflammatoire puissant qui égale ou dépasse même l’efficacité de nombreux médicaments anti-inflammatoires disponibles.

     

    2. Protège votre cerveau

    Des troubles cognitifs tels que la démence et la maladie d’Alzheimer sont souvent liés à une diminution du taux de facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF), qui est un type d’hormone de croissance. Les chercheurs ont découvert que la curcumine a une influence positive sur les niveaux de BDNF et peut retarder ou même faire régresser de nombreuses maladies du cerveau ou le déclin de nos fonctions cérébrales lié à l’âge. (2)

    3. Réduit le risque de plusieurs types de cancer

    Le curcuma peut être l’une des substances anti-cancer naturelles les plus puissantes. Non seulement il peut prévenir la croissance du cancer, mais il inhibe également le développement et la propagation et pourrait même être le remède naturel de cette terrible maladie. (3)

    4. Améliore la digestion

    Manger du curcuma quotidiennement stimule la vésicule biliaire, diminue les ballonnements et les gaz, et prévient l’inflammation du tube digestif. Cependant, quand on souffre d’une maladie de la vésicule biliaire, on ne doit pas consommer du curcuma quotidiennement pour éviter une stimulation excessive, ce qui pourrait aggraver les choses. (4)

    5. Protége votre coeur

    Il a été démontré que la curcumine réduit le cholestérol LDL (ou mauvais), prévient la coagulation sanguine, et élimine l’accumulation de plaque dans les artères. (5)

    6. Apaise les symptômes de l’arthrite

    Bien que plus de recherche est nécessaire dans ce domaine, beaucoup de personnes déclarent diverses améliorations de leur état. Il les aide à lutter contre l’inflammation chronique et réduit également la douleur. Certains prétendent même que les suppléments de curcumine fonctionnent mieux que beaucoup de médicaments sans ordonnance ou prescrits disponibles sur le marché aujourd’hui. Et sans aucun effet secondaire. (6)

    7. Retarde le vieillissement et améliore la longévité

    Les radicaux libres et l’inflammation sont soupçonnés de jouer un rôle majeur dans le vieillissement et la curcumine agit sur les deux. Et étant donné qu’elle protège aussi notre cœur et lutte contre le cancer, qui sont 2 des plus grands tueurs dans le monde d’aujourd’hui, elle favorise de toute évidence la longévité aussi. (7)

    Ces avantages ne sont que la pointe de l’iceberg de ce que le curcuma peut faire pour vous.

    Pour améliorer la santé globale et le bonheur, ajouter 1 cuillère à café de curcuma aux smoothies, jus de fruits, soupes, currys, sautés, et sauces quotidiennement.

    Pour votre information: la curcumine, ou le composé le plus actif et curatif du curcuma, est mal absorbé par notre corps. Heureusement, il existe des façons d’augmenter l’absorption jusqu’à 2000 pour cent. Ajouter une pincée de poivre noir est l’une d’entre elles. 

    Références:

    1. www.ncbi.nlm.nih.gov

    2. journals.plos.org

    3. www.ncbi.nlm.nih.gov

    4. umm.edu

    5. www.ncbi.nlm.nih.gov

    6. www.ncbi.nlm.nih.gov

     

    7. www.immunityageing.com

     

    Bruno LAHARRAGUE

    Ostéopathe D.O

    Seignosse Le Penon

    http://www.bruno-laharrague.com/

     

    http://brunolaharrague.blogg.org/


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  • Des chercheurs confirment enfin que le cancer est une maladie purement créée par l’homme

    Des chercheurs de l’Université de Manchester, Royaume-Uni, ont conclu que le cancer est une maladie créée par l’homme purement moderne.

     

    En France 149 000 personnes, dont 85 000 hommes et 63 000 femmes, meurent du cancer par an, soit 411 personnes qui meurent chaque jour. Ce sont les cancers du sein et de la prostate les plus meurtriers. Chaque année, on détecte environ 350 000 nouveaux cas de cancers en France.

    Au Canada, le cancer est la principale cause de décès et il est responsable d’environ 30% de tous les décès.

    Dans le Royaume-Uni seul, le cancer emporte plus de 150 000 vies chaque année. Les statistiques montrent également que près d’une personne sur trois au Royaume-Uni est susceptible d’avoir un cancer.

    Les chercheurs ont passé beaucoup de temps à étudier les momies, les fossiles et la littérature classique avant d’en arriver à leur conclusion.

    Les chercheurs ont déclaré que le cancer est une maladie artificielle alimentée par les excès de la vie moderne. En effet, les tumeurs étaient rares jusqu’à une époque récente, lorsque la pollution et la mauvaise alimentation sont devenus un problème.

    Dans l’étude des momies égyptiennes, par exemple, les chercheurs n’ont constaté aucun signe de cancer chez beaucoup d’entre eux, à l’exception d’un cas isolé. Des mèches de cheveux et des tissus provenant de centaines de momies égyptiennes ont été réhydratés et placés sous le microscope. Les chercheurs ont constaté un seul cas de cancer chez les momies examinées.

    Dans le passé, certains chercheurs ont fait valoir que les anciens Egyptiens ne vivaient pas assez longtemps pour développer le cancer. Pour écarter ce faible argument, les chercheurs ont fait remarquer que d’autres maladies liées à l’âge, comme le durcissement des artères et des os fragiles, existait à cette époque.

    La revue Nature Reviews Cancer rapporte que les preuves fossiles de cancer ne sont pas solides, avec la littérature scientifique qui en fournit quelques dizaines, principalement contestées, des exemples de fossiles d’animaux. Même l’étude de milliers d’os de Neandertal a fourni un seul exemple d’un éventuel cancer.

     

    Les preuves de cancer dans les anciens textes égyptiens sont également minces, avec des problèmes de cancer plus susceptibles d’être provoqués par la lèpre ou même des veines variqueuses. On dit que les Grecs anciens ont été les premiers à définir le cancer comme une maladie spécifique, et à faire la distinction entre les tumeurs bénignes et malignes.

    Le 17 ème siècle fournit les premières descriptions des opérations du cancer du sein et d’autres cancers. Cependant, les premiers rapports dans la littérature scientifique des tumeurs ne se sont produites qu’au cours des 200 dernières années. Le cancer du nez chez les utilisateurs de tabac à priser est apparu en 1761. Le cancer du scrotum chez les ramoneurs a également été découvert en 1775.

    Le chercheur principal de cette étude, Michael Zimmerman a dit qu’il y aurait dû y avoir beaucoup de preuves sur le cancer disponibles dans les sociétés anciennes parce qu’ils manquaient de soins de santé efficaces.

    « Dans une société archaïque qui manquait d’interventions chirurgicales, l’évidence du cancer devrait demeurer dans tous les cas. La quasi absence de tumeurs malignes chez les momies doit être interprétée comme indiquant leur rareté dans l’ antiquité, ce qui indique que les facteurs qui causent le cancer sont limités aux sociétés touchées par l’industrialisation moderne », dit Zimmerman.

    La professeur Rosalie David

    La professeur Rosalie David, qui a également joué un rôle clé dans l’analyse de la référence possible de la maladie dans la littérature classique, des fossiles et des corps momifiés, a déclaré:

    « Dans les sociétés industrialisées, le cancer est la deuxième cause de décès après les maladies cardiovasculaires. Mais dans les temps anciens, le cancer était extrêmement rare. Il n’y a rien dans l’environnement naturel qui peut causer le cancer. Cela doit donc être une maladie de l’homme, due à la pollution et des changements de notre régime alimentaire et de mode de vie. La chose importante à propos de notre étude est qu’elle donne une perspective historique à cette maladie. Nous pouvons faire des déclarations très claires sur les taux de cancer dans les sociétés parce que nous avons un aperçu complet. Nous avons examiné des millénaires, pas cent ans, et de nombreuses données. Encore une fois, de nombreuses données égyptiennes anciennes, ainsi que d’autres données de l’ensemble des millénaires, ont donné un message clair à la société – le cancer est créé par l’homme et c’est quelque chose que nous pouvons et devons régler. »

    Les chercheurs ont recommandé une alimentation saine, de l’activité physique régulière et le maintien d’un poids santé. Ces trois choix de vie seraient capables d’empêcher environ un tiers des cancers les plus courants connus des chercheurs.

    Sources:

    www.manchester.ac.uk

    anonhq.com

    archive.archaeology.org

     

    sain-et-naturel.com


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  • Les 36 meilleurs légumes pour prévenir et traiter le cancer, consommez-les le plus souvent possible!

    Selon les recherches du Dr. Richard Béliveau, docteur en biochimie et directeur du laboratoire de Médecine Moléculaire à l’Université du Québec à Montréal, où il est directeur scientifique de la Chaire en Prévention et Traitement du Cancer, les meilleurs légumes contre le cancer sont les suivants. 

    Potentiel d’inhibition du cancer supérieur à 95%:

    1. Ail
    2. Poireau
    3. Choux de Bruxelles
    4. Betterave
    5. Canneberge
    6. Chou
    7. Oignon Vert
    8. Chou frisé
    9. Brocoli
    10. Chou Fleur
    11. Epinard

    Potentiel d’inhibition du cancer entre 85 et 95%:

    1. Pissenlit rouge
    2. Chou kale
    3. Oignon jaune
    4. Haricot vert
    5. Chou rouge

    Potentiel d’inhibition du cancer entre 70 et 85%:

    1. Asperge
    2. Céleri
    3. Fraise
    4. Rutabaga
    5. Crosse de fougère

    Potentiel d’inhibition du cancer entre 50 et 70%:

    1. Courge poivrée
    2. Piment Jalapeno ou d’espelette
    3. Concombre

    Potentiel d’inhibition du cancer entre 20 et 40%:

    1. Tomate
    2. Radicchio
    3. Cerise
    4. Bulbe de fenouil
    5. Carotte
    6. Chou Chinois
    7. Pomme de terre rouge
    8. Endive
    9. Laitue romaine

    Potentiel d’inhibition du cancer entre 5 et 20%:

    1. Laitue Boston
    2. Poivron orange
    3. Aubergine

     

    Pour en savoir plus sur la prévention du cancer par l’alimentation, consultez cet excellent article du Dr. Béliveau.

    Les 36 meilleurs légumes pour prévenir et traiter le cancer, consommez-les le plus souvent possible!

    Bruno LAHARRAGUE

    Ostéopathe DO

    Seignosse  


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  • La Spiruline,La Spiruline , l'algue bleue

    une micro algue bleu-vert spiralée, est tout simplement le premier organisme vivant à s’être développé sur terre. On dispose de preuves fossiles de sa présence sur notre planète il y a environ 3 500 millions d’années ! Il s’agit d’une cyanobactérie dont l’exceptionnelle efficacité à pratiquer la photosynthèse, ce processus bioénergétique qui permet à certaines plantes et algues de synthétiser de la matière organique à partir de la lumière du soleil, lui a permis de traverser les âges malgré d’extrêmes variations de conditions climatiques.

     A mi-chemin entre le monde végétal et le monde animal, la Spiruline est tout simplement à l’origine de toute la vie actuellement présente sur terre. Vous avez bien lu, notre lointain ancêtre est cette remarquable cyanobactérie, également à l’origine des toutes les autres formes de vie, tant animale que végétale!


    La Spiruline se développe naturellement dans les eaux saumâtres et alcalines des zones tropicales. Sa culture est simple mais encore peu développée.

     Un véritable trésor nutritionnel    

    Selon les scientifiques qui se sont penchés sur son étude, la Spiruline est l’aliment naturel LE PLUS RICHE en micronutriments essentiels(ceux que notre organisme est incapable de synthétiser à partir de notre alimentation). Il les contient pratiquement tous, à l’exception notable de la vitamine C. La formulation de NaturaBlue compense cette lacune par l’adjonction d’extrait du fruit le plus riche en vitamine C actuellement connu : le Camu Camu.

    Au contraire de celles de la majorité des plantes qui pratiquent la photosynthèse,  les cellules de la Spiruline n’ont pas d’enveloppe cellulosique, ce qui rend cette algue microscopique particulièrement digeste.

    Composition

    La Spiruline est tout simplement l’aliment connu le plus riche en protéines. Qui plus est, ces protéines sont particulièrement digestes.

     

    Selon le Docteur Jean-Louis VIDALO, 10 grammes de Spiruline contiennent :

    • Autant de protéines que 500 g de bœuf,
    • Autant de calcium que 3 verres de lait,
    • Autant de fer que 3 bols d’épinards,
    • Autant de Béta carotène que 18 carottes,
    • Autant de vitamine B12 que 500 g de steak haché,
    • Autant de vitamine E que 3 cuillères à soupe de germe de blé.


    La Spiruline apporte tous les acides aminés dont le corps a besoin pour synthétiser les protéines, ce qui est absolument unique pour un végétal.

    La Spiruline , l'algue bleue

     

     

    Vitamines

    À part la vitamine C, la Spiruline contient toutes les vitamines connues. Dans NaturaBlue, cette carrence en vitamine C est compensée par la présence du Camu Camu dans la formule de NaturaBlue.

    Minéraux et oligo-éléments    

    On a identifié une quinzaine de minéraux et oligo-éléments dans la Spiruline, dont du fer hautement bio assimilable, surtout lorsqu’il est consommé avec de la vitamine C. Encore une fois, le Camu Camu contenu dans NaturaBlue vient rendre le fer de la Spiruline encore mieux bio assimilable…  
      

    Acides aminés    

    Les protéines végétales de la Spiruline (environ 60 % de sa masse, soit le taux le plus fort observé sur un aliment naturel), particulièrement digestibles, apportent en outre une vingtaine d’acides aminés, dont les 8 dit « essentiels », puisque notre organisme ne sait pas les synthétiser.

    Or les acides aminés jouent un rôle fondamental dans notre métabolisme puisqu’ils assurent le transport et le stockage des principales substances vitales dans notre organisme.

    Acides gras essentiels    

    Non seulement la Spiruline contient à la fois des Omégas 3 et des Omégas 6 (ces 2 familles d’acides gras essentiels sont également indispensables à une bonne santé), mais elle contribue à équilibre le ratio Oméga 3 sur Oméga 6 optimal pour la santé. 

    Rappelons que l’alimentation industrielle est trop riche en Omégas 6 et pauvre en Omégas 3. Consommer de la Spiruline revient donc à améliorer l’équilibre entre les 2 catégories d’acides gras essentiels.    

    La Spiruline contient également des Omégas 9 protecteur des maladies cardio-vasculaires.

    Pigments

    La Spiruline , l'algue bleue

    La Spiruline contient à la fois des caroténoïdes (principalement du béta carotène), de la chlorophylle et de la Phycocyanine. Cette palette de couleur unique lui permet de capter la totalité du spectre lumineux du soleil. Ce cas est sans équivalent parmi les plantes pratiquant la photosynthèse et explique probablement l’incroyable richesse nutritionnelle de l’algue bleue.

    La phycocyanine à elle seule est capable de capter tout le spectre solaire. Sa structure est identique à celle de l’hémoglobine (nos globules rouges) à un atome près, ce qui explique probablement son fantastique pouvoir d’oxygénation du sang, que certains ont comparé à celui d’une EPO naturelle !

    Enzymes

    Outre la Phycocyanine (à la fois pigment, protéine et enzyme), la Spiruline contient de la Superoxyde Dismutase (SOD). En agissant dès l’origine de la réaction d’oxydation à l’intérieur de la cellule, les SOD prévient la formation des radicaux libres, si dommageables à notre santé. C’est l’un des plus puissants antioxydants naturels.

     Bienfaits

    Un bienfait naturel comme la Spiruline ne pouvant être breveté, les laboratoires pharmaceutique n’y voient pas une source potentielle de profits et de ce fait ils n’ont pas investi en recherche sur l’aliment naturel le plus prometteur actuellement connu. Ce sont donc des chercheurs et scientifiques indépendants qui sont à l’origine des études sur la Spiruline.

    Dans son ouvrage  « Spiruline : micro algue, macro bienfaits », le naturopathe - auteur - conférencier Australien, d’origine bavaroise, Harald W.TIETZE, énumère les principaux bénéfices de la Spiruline mis en évidence par la science.

    • Bien-être général et détoxication de l’organisme,
    • Maintien et récupération de la qualité, de la souplesse, donc de jeunesse de la peau,
    • Vigueur des ongles et des cheveux,
    • Beaucoup d’énergie, facilité de récupération après l’effort,
    • Amélioration de nombreux cas d’allergie,
    • Renforcement du système immunitaire, ce qui peut notamment aider les malades du SIDA à mieux combattre la maladie,
    • Baisse générale des sensations douloureuses,
    • Combat l’anémie grâce à sa richesse nutritionnelle sans équivalent,
    • Action préventive contre le Cancer, du fait des effets anti-inflammatoire et antioxydant combinés,
    • Protection contre les radiations nucléaires, comme de nombreuses expériences l’ont démontré, notamment après la catastrophe de Tchernobyl,
    • Baisse du cholestrol sanguin et contrôle de l’hypertension artérielle,
    • Protection du système digestif,
    • Détoxication du foie, même dans des cas de pathologies avancées,
    • La vitalité sexuelle est également favorisée par la consommation de l’algue bleue,
    • La combinaison des caractéristiques et bienfaits apportés par la Spiruline en font un SUPERALIMENT pour combattre les effets du vieillissement.

     

    L’effet « détox »

    Les seuls effets indésirables observés découlent de la puissante action détoxiquante de la Spiruline. Au cours des premiers 10 jours d’utilisation régulière, les effets indésirables courants et communs à toute période de détoxication peuvent être observés : maux de tête, nausées, troubles du transit intestinal en tous genres, troubles du sommeil. Réduisez les prises, buvez abondamment, persévérez et vous découvrirez rapidement le puissant allié que la Spiruline peut devenir pour préserver votre bien-être !    

    L’aliment de demain !    

    Comment nourrir 10, 15 ou 25 Milliards d’humains ? La Spiruline pourrait fournir une partie significative de la réponse. On estime qu’il suffirait de 2 % de la surface des USA converties en fermes à Spiruline pour produire de quoi nourrir la population actuelle de notre planète ! De plus, une ferme à Spiruline peut parfaitement être installée dans une zone semi-désertique. 

     

    Si vous souhaitez vous en procurer :

    Voici mon lien   http://shop.natura4ever.com/?CodeCourtier=QTPV184

     

    Bruno LAHARRAGUE

    Ostéopathe DO

    2 Place Victor Gentille – SEIGNOSSE - 

    http://www.bruno-laharrague.com/

     


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